Lindiel H. Valaros.

Souriante, bienveillante, chaleureuse, compréhensive, juste, fière, humble, généreuse et accueillante, voilà comment les personnes te décrivaient il y a quelques mois en arrière, tu étais quelqu’un de très apprécier dans ta baronnie, que ce soit du côté des Nobles que tu côtoyais, que des paysans qui se trouvait dans tes Terres.

Mais il est vrai que la flèche du destin à choisi de s’abattre sur toi. Après une énorme tragédie, ton sourire s’effaça presque instantanément, ta joie de vivre ainsi que ta gaité quitta alors ton cœur pour être remplacer par une tristesse et un désespoir sans nom que tu camouflais sous une carapace de dureté.
Malgré tout, tu gardes ta bonté et ta compréhension, ta générosité et ta justesse en ce qui concerne ton peuple ou les décisions à prendre pour garder ta contrée en paix. Tu as du apprendre rapidement à avoir un tempérament de leadeurs afin de guider avec une main de fer tes armées en cas de guerre.

Tu as toujours été une femme de caractère qui n’a pas eu beaucoup à faire pour se faire respecter et c’est pour cela que ton époux t’appréciait. Tu as toujours pris les bonnes décisions pour ton peuple et tu étais et tu es toujours quelqu’un de bon conseil. Bien que parfois, tu ne peux t’empêcher de dire réellement ce que tu penses au risque de blesser ou de créer un désaccord.

Mais pour le moment tu n’es pas prête à changer et tu as scellé ton cœur dans un coffre de glace pour éviter toute nouvelle souffrance. Pour éviter de te morfondre dans la tristesse tu as appris à être plus qu’organiser dans tes rendez-vous ou ta paperasserie et quiconque ose toucher tes affaires risque de se faire violemment remettre à sa place sans aucune pitié pour sa pauvre personne.

Avant d’oublier certains traits de ta personnalité, tu as tendance à oublier que tu es quelqu’un de très patient et de calme, il en faut beaucoup pour t’énerver sauf en ce qui concerne tes petites affaires. Tu apprécie énormément le calme, être simplement posée sur un banc dans un coin de verdure à écouter les chants des oiseaux et la mélodie du vent t’apaise et tu as horreur d’être dérangée dans ces moments.
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Tu venais tout juste de sortir de ton bain. Tu étais au milieu de ton immense salle de bain, te regardant dans le miroir de la tête au pied. Tu avais hérité de la beauté de ta mère, tu étais une belle et tu le savais. Lorsque tu apparaissais dans une pièce, les regards des hommes et des femmes se posaient sur ta personne.

Les hommes admiraient ta beauté, alors que les femmes la jalousaient. Ta longue chevelure descendant jusqu’à la courbe de tes reins portait la couleur des champs de blés éclairé par un soleil d’été, d’une blondeur presque surnaturel. Tu avais toujours l’habitude de la coiffer en chignon haut laissant quelques mèches retombés sur les côtés de ton visage de poupée, tu ornes souvent ton front d’un tiare en forme de crâne afin de donner un petit côté original. Ta peau est blanches comme la neige, lisse et douce, il n’y aucune impureté venant gâché l’harmonie de corps ou de ton visage.

Pour rester sur ton visage, tes yeux sont légèrement en amandes toujours maquillé de manière légère, un peu de far à paupière beige et marron pour faire ressortir la couleur grise de tes prunelles. Lorsque l’on plonge son regard dans le tiens, on est hypnotisé, et attirer par ce regard à la fois emplit de mélancolie et de froideur.

Ton nez est bien centré au milieu de ton visage suivi par une bouche pulpeuse maquillé de noir et de vert ou parfois de doré pour la fantaisie. Pour continuer ton cou est fin et tes épaules sont banale comme celle d’une femme, pourtant, elle porte le poids et les responsabilités d’une baronnie.

Descendons encore un peu sur ton buste, une belle poitrine ni trop grosse, ni trop petite, juste de quoi satisfaire les regards des hommes. Ta taille est celle d’une guêpe que tu mets en valeur par des corsets ce qui fait d’ailleurs ressortir les formes de tes hanches et de ta poitrine. En ce qui concerne tes jambes il n y a pas à déblatérer des heures dessus, elles sont longues et fines, bien que peu de gens ait pu les voir vu les longues robes que tu portes.

En parlant de garde robe, tes robes ne sont aucunement munie de jupons, tu n’aime pas ça, tu aimes le robes, fines suivant les courbes de ton corps, généralement, les couleurs se ressemblent, du noir, du vert foncée cela s’arrête alors ici. Tu les mets en valeur avec des corsets ou des collerettes..

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Salutations, Lindiel !

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